Nous sommes venus très nombreux en l’église Saint Paul célébrer l’ouverture de l’année de la Vie consacrée.

La joie était au rendez-vous :

• Joie des retrouvailles, ou joie de faire connaissance,
• Joie d’avoir répondu à l’invitation de la CORREF
• Joie de faire partie de cette grande famille des Consacrés
  – Joie d’être appelés à nous mettre en route d’une manière toute particulière cette année.

Quelques paroles fortes du message de Monseigneur d’Ornellas, afin d’en vivre tous ensemble.

C’est une grande joie pour moi de vous rencontrer dans l’église SAINT-PAUL et d’ouvrir avec vous l’année de la Vie consacrée. Saint Paul fut saisi par le Christ ressuscité. C’est donc à son ombre que nous nous rencontrons.

Je voudrais faire mémoire de la vie consacrée dans la vie de l’Eglise durant ces cinquante années depuis le Concile Vatican II. Ainsi, nous rendrons grâce. Je voudrais ensuite me tourner vers le présent que je souhaite rempli d’espérance, pour entrer dans l’aujourd’hui que Dieu nous offre pendant l’année de la Vie consacrée. Aujourd’hui, dans l’espérance

« Malgré le vieillissement et les vocations qui se font rares, la Vie consacrée vécue par vous, tels que vous êtes, constitue un trésor pour notre diocèse. Elle est un signe précieux pour tous. Elle est un stimulant pour que nous vivions la charité et pour que nous marchions vers la sainteté. Elle manifeste la charité du Christ pour les plus fragiles et les plus délaissés.

« Comment ne pas rendre grâce pour tout l’élan de charité, discret mais si réel, qui a conduit tant de consacrés vers les plus fragiles, les immigrés, les exclus, les enfants et les jeunes dans l’éducation, vers les malades et les personnes âgées. Oui, Dieu soit béni pour la délicatesse de la charité qui vous anime ! Je la vois à l’œuvre dans le souci porté aux sœurs âgées dans vos Maisons Mères présentes sur le diocèse.

« Le Pape François fait un cadeau à toute l’Eglise en lui proposant une année de la Vie consacrée. Afin que ce signe soit de plus en plus un stimulant pour les chrétiens, les prêtres et les diacres, et aussi pour votre Evêque, je vous confie trois mots : joie, fraternité, espérance.

La JOIE Une chance nouvelle nous est offerte en cette année : rencontrer à nouveau Jésus, comme si nous allions vers lui de façon neuve et jeune, pour en recevoir la joie.

La FRATERNITE évangélique vécue au quotidien est une grande prophétie de ce que doit vivre notre Eglise diocésaine, et aussi chaque communauté paroissiale. Elle est un beau lieu pour que grandisse la délicatesse de l’amour et la tendresse de la charité fraternelle. La fraternité, source de joie, est prophétique en notre monde.

L’ESPERANCE Ravivez en vous l’espérance que nous prononçons chaque jour dans la liturgie eucharistique : Nous attendons ta venue dans la gloire…. Nous attendons que tu viennes …. Viens, Seigneur Jésus …. Plus les consacrés vivent de façon intense cette espérance, plus ils vont vers le monde, y portant le souci de voir grandir le Royaume, selon leur charisme et leur mission, pour y insuffler l’esprit des Béatitudes.

Merci à toutes et à tous d’être simplement ce que vous êtes : des consacrés au Christ et par le Christ, pour la beauté du monde et la gloire du Père."

Une participante